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La SPCA de Montréal demande aux consommateurs de magasiner consciencieusement l’achat d’un manteau d’hiver dans le cadre de #FiniLaFourrure

Montreal Pet photographyMontréal, 4 novembre 2015 – L’année dernière, la SPCA de Montréal a lancé la campagne Fini la fourrure, laquelle visait à sensibiliser le public au sort des animaux dans le commerce de la fourrure. Cette année, la campagne se poursuit, avec un accent particulier sur les détaillants et les consommateurs. Et, comme toujours, nous demandons aux consommateurs de magasiner consciencieusement et d’acheter un manteau d’hiver sans fourrure et sans duvet.

Alors qu’il commence à faire froid, c’est à nouveau la période de l’année où beaucoup de gens vont magasiner les vêtements d’hiver. Malheureusement, l’utilisation de la fourrure pour des manteaux et autres accessoires d’hiver, provenant d’animaux comme le coyote, le vison, le lapin et le renard, est encore très répandue. Ces animaux sont soit élevés sur des fermes à fourrure où ils sont confinés dans des cages métalliques minuscules qui les privent de la possibilité de satisfaire leurs besoins comportementaux les plus élémentaires avant d’être tué par électrocution anale ou chambre à gaz, ou bien, ils sont pris dans des pièges conçus pour les retenir contre leur gré – où ils meurent généralement de faim, de déshydratation ou de blessures en essayant de se libérer du piège.
Avec tous les manteaux et accessoires d’hiver qui sont confectionnés sans cruauté et avec des matières synthétiques aussi chaudes que la fourrure ou le duvet, il n’y a aucune raison d’appuyer l’industrie de la fourrure qui est intrinsèquement inhumaine.

De plus, il n’y a pratiquement aucune protection juridique pour les animaux élevés sur des fermes à fourrure au Canada. Les lois provinciales en matière de bien-être animal de presque toutes les provinces tolèrent l’ensemble des pratiques jugées acceptables par l’industrie de la fourrure, sans égard à la cruauté de ces pratiques. « Les animaux élevés sur des fermes à fourrure ne bénéficient pas d’une protection juridique suffisante : la loi et l’industrie de la fourrure les considèrent comme des marchandises », a précisé Me Alanna Devine, directrice de la défense des animaux à la SPCA de Montréal. « La fourrure est un produit de luxe non nécessaire qui est le produit de la souffrance inutile des animaux, qui ne sont pas différents des chiens et des chats que nous avons dans nos maisons. Nous souhaitons que les consommateurs fassent ce lien, puisqu’ils ont la capacité d’aider à arrêter cette souffrance en choisissant de dire non à la fourrure, » ajoute-elle.

Au nom de tous les animaux qui souffrent inutilement dans la fabrication de vêtements d’hiver, la SPCA de Montréal demande à tous de magasiner consciencieusement et d’acheter un manteau d’hiver sans fourrure et sans duvet, ainsi que de participer à notre campagne #Finilafourrure en vous engageant à nouveau cette année à dire NON à la fourrure.

De nombreuses marques offrent des vêtements sans cruauté et à la mode, par exemple : Arc’teryx, Fjällräven, Mountain Equipment Co-Op (MEC)Columbia SportswearHelly Hansen, Hoodlamb, Vaute Couture et Save the Duck.

Veuillez visiter www.finilafourrure.com afin de découvrir ce qui peut être fait pour mettre fin à cette industrie cruelle

Vidéo de la campagne: cliquez sur ce lien.

Renards-cages

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Personne-ressource pour les médias : Anita Kapuscinska, coordonnatrice des relations avec les médias, SPCA de Montréal, 514-226-3932, ou anitak@spca.com.

À propos de la SPCA de Montréal
Fondée à Montréal en 1869, nous sommes la plus ancienne société de protection des animaux au Canada. Notre mission est de :

  • protéger les animaux contre la négligence, les abus et l’exploitation;
  • représenter leurs intérêts et assurer leur bien-être;
  • favoriser la conscientisation du public et contribuer à éveiller la compassion pour tout être vivant.

Pour plus d’informations à propos de la SPCA de Montréal, veuillez visiter notre site Web au www.spca.com.

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